☥ Bienvenue à mon Ecole des mystères – Les Temples d’Isis ☥
Cet article s'adresse aux Français, aux Européens et à toute personne ayant des racines ici chez nous, en terre celtique.
La race blanche d'Europe.
L'âme véritable de l'Europe.
1) BIENVENUE CHEZ LES CELTES
La culture celtique était très spirituelle et basée sur le sacré. La spiritualité celtique reconnaissait le principe féminin et honorait la Mère divine. On connaît aujourd'hui par exemple la Vénus de Willendorf (actuelle Autriche), une statuette (que je porte en pendentif sur cette photo) représentant les formes pulpeuses de la Déesse Mère que ces peuples adoraient. En Irlande, on adorait Brigid. En Gaule, on adorait Epona, Belisama, les Matres et de nombreuses autres divinités féminines aux côtés de dieux masculins tels que Cernunnos, Belenos, Toutatis, Lougous ou Esus.
La vie spirituelle était supervisée par les druides qui étaient des sages ayant suivi un long apprentissage, parfois jusqu'à vingt ans. Les deux autres fonctions qui assistaient les druides étaient les bardes, poètes et conteurs d'histoires dont le rôle sacerdotal était de transmettre les aventures divines, et les vates qui occupaient les rôles de guérisseurs et de devins.
La vie celte s'organisait autour de la Roue de l'année qui commençait à Samhain, à mi-chemin entre l'équinoxe d'automne et le solstice d'hiver. Six semaines plus tard venait Yule, le solstice d'hiver. Puis six semaines plus tard venait Imbolc, le 1er février, pour fêter la terre "enceinte", puis Ostara, lorsque le lièvre pouvait être aperçu (équinoxe de printemps), puis Beltaine, la fête du feu et des unions (rituel des rubans ou cérémonie des mains liées) du 1er mai, puis Litha (solstice d'été), puis Lughnasadh, le 1er août, au plus chaud de la saison, qui célébrait la première récolte (graines), puis Mabon (équinoxe d'automne) quand on célébrait la seconde récolte (fruits) et enfin à nouveau Samhain, pour la troisième et dernière récolte (fruits à coque et baies).
Beaucoup de fables mensongères ont été répandues sur les Celtes et les Gaulois afin de les diaboliser mais ce sont là les œuvres des chrétiens qui se sont - on peut le dire - sauvagement imposés en terre d'Europe.
Que s'est-il passé ?
2) ROMA, LE CONTRAIRE DE AMOR
Il y avait l'Empire romain. Celui-là a disparu en 476. Mais Rome n'avait pas dit son dernier mot. La société émancipée des Celtes était une menace réelle pour la Rome avide de pouvoir et d'esclaves. L'Empire romain s'est transformé en religion romaine qui s'est organisée pour anéantir les peuples libres d'Europe, les traumatiser, les étourdir dans une souffrance crasse, les soumettre, les asservir et leur faire aimer leur bourreau (syndrome de Stockholm). La brutalité de l'Eglise romaine pourrait faire pâlir d'envie les pires tyrans du monde entier : elle a... castré, émasculé, vendu, prostitué, déporté, empalé, brûlé, coupé des membres corporels, pendu, surveillé, dénoncé, terrorisé, massacré, assassiné, violé, exploité, humilié, haï, trahi, possédé (l'âme) de millions d'individus en Europe et ailleurs pour nous faire oublier ce qu'étaient la paix, la liberté de mouvement, d'expression et de culte, le bonheur simple mais précieux d'une vie en harmonie avec la nature et les animaux, ce qu'était la vie celte.
Etant une toute jeune religion, il lui fallait des rites et des rituels. Pour se faire accepter, elle ne trouva rien de mieux à faire qu'usurper ceux des Celtes, les cuisiner à sa sauce et les leur resservir de force en les menaçant de mort s'ils continuaient à observer leurs propres traditions. Ainsi, on remarque qu'Imbolc a été remplacé par la Chandeleur, Ostara par Pâques, Yule par Noël, l'Assomption est très proche de Lughnasadh, et l'Ascension de Litha et la Toussaint tombe le jour de Samhain. La déesse Brigid est métamorphosée en Sainte Brigitte et les sources sacrées deviennent des sources saintes. Le vilain polythéisme païen prend l'aspect d'une panoplie de saints dont on ne sait plus auquel se vouer. Les églises gothiques construites par l'Ecole de Chartres, les loges maçonniques originelles des vrais bâtisseurs de cathédrales sont récupérées par cette même Eglise alors que les symboles qui s'y trouvent sont ceux de la tradition spirituelle qui honore la Déesse Mère. Qu'à cela ne tienne : on va adorer la Mère Marie, mais pas avant de l'avoir baptisée Notre-Dame. Marie, mère de Yeshua, Yeshua lui-même, Anna, sa grand-mère, étaient d'ascendance celtique : c'étaient des Galates (même racine que Gaule, Galles, Wallonie, Galice), c'est-à-dire des Celtes du Moyen-Orient qui n'étaient pas rares à cette époque (on en trouvait également en Turquie). Les Galates de Galilée n'étaient que tolérés par la caste juive de Judée. Yeshua et sa famille étaient des gnostiques esséniens. Marie et Anna ainsi que la Madeleine étaient toutes des initiées des Temples d'Isis en Egypte (où l'on enseignait l'alchimie des énergies sexuelles). On entend même dire qu'Anna aurait été une princesse celte (Anna, dont le prénom est proche de Dana, déesse de la tribu des Tuatha dé Danaan d'Irlande). Est-ce vrai ? Yeshua a étudié parmi les druides d'Avalon (région de Glastonbury dans le sud de l'Angleterre) pendant de nombreuses années et était lui-même druide (tout comme il était yogi suite à un séjour en Inde avant de se mettre à prêcher).
Oh que non ! L'histoire véritable n'est pas celle que l'Eglise de Rome nous a apprise au catéchisme, petits chrétiens de France et de Navarre !
3) ENJAMBER DEUX MILLENAIRES DE MENSONGES
Pour un retour aux sources bienfaisant et thérapeutique, pour authentiquement aimer la France et la faire revivre, nous, Français, devons guérir notre âme celte, nous souvenir des atrocités que nous avons subies (car nous sommes nos ancêtres) et nous réconcilier avec notre passé celtique en rejetant la stigmatisation du paganisme comme s'il était la pire des tares qui ait pu nous affliger. Le mot "paganisme" vient du mot "paysan". Autrement dit, le paganisme est la tradition spirituelle des gens de la terre qui honorent les cycles de la nature (comme on l'a vu ci-dessus, les huit festivals de l'année), les esprits de la nature locaux qui leur sont familiers et qui leur apportent de bonnes récoltes pour bien manger, rester en bonne santé et vivre dans l'abondance. Où est le diable dans tout cela ? Dans les saisons de la nature vivante et nourricière ou dans la tête des psychopathes chrétiens jaloux de tant de bénédictions ? Le diable n'existait pas chez les Celtes puisque leur spiritualité intégrait les deux polarités de l'Univers (Féminin & Masculin, ombre & lumière, nuit & jour, bien & mal etc.) à la grande exaspération des moines qui voulaient posséder les âmes de ces êtres dont le seul "péché" était d'être libres dans le sens d'innocents et de non torturés par la peur, la culpabilité, la honte et la haine de soi. Nos ancêtres celtes étaient des âmes très évoluées alors que l'Eglise romaine a recouvert l'Europe de son voile noir opaque et épais d'obscurantisme, de fiel, de fanatisme, de cruauté et de terreur.
De nombreux Français, y compris dans le mouvement patriote, proclament que l'âme de la France est chrétienne. Il n'existe pas d'âme chrétienne. Le christianisme n'est pas une race, un peuple, une tribu et donc une âme. Le christianisme est un traumatisme infligé aux peuples. C'est une religion sadique et dangereuse qui provient de l'Orient et qui a été bestialement répandue sur la terre européenne par les vrais barbares, dont le"charcuteur" de chair blanche Charlemagne, dont la mère était juive et dont l'oncle était exilarque babylonien. Nous voici ni plus ni moins face à la branche occidentale de la Maison de David (les partisans de Charlemagne l'appelaient David) qui bénéficiait de son petit repaire à Narbonne en Septimanie. A partir de là, toutes les lignées royales européennes (celtes, franques...) ont été infiltrées tout comme les authentiques loges maçonniques des origines l'ont été et tout ce qui était beau fut corrompu et perverti par ces êtres avides de domination, de contrôle et de l'énergie vitale des Hommes libres : lorsqu'on se hait soi-même, on ne supporte pas que son prochain s'aime lui-même. Corruptio optimi pessima : le pire, c'est la corruption du meilleur.
Si vous êtes chrétien, vous perpétuez la soumission de votre âme à la brutalité historique et inqualifiable des pires bourreaux, des pires tortionnaires, des pires manipulateurs, des pires criminels que la Terre ait portés. Il faudra ouvrir les yeux, se rendre à l'évidence, s'effondrer de désespoir et comprendre, viscéralement et génétiquement comprendre que nous avons été pillés, désacralisés, broyés, souillés, dépossédés de nous-mêmes, spoliés, capturés, torturés, déshumanisés, persécutés, que notre terre a été profanée et que la toute première traite des humains fut la traite des Celtes dont personne ne parle, y compris leurs propres descendants qui protègent le boucher qu'est le Vatican et ses suppôts jésuites, rabbiniques et satanistes. Le christianisme est la religion des juifs pour les non-juifs. La secte rabbinique (les Talmudistes babyloniens) a commis ses forfaits en terre de Canaan en éradiquant la dévotion à la Déesse Mère, en détruisant tous les lieux de culte voués au Féminin sacré et a continué à répandre sa misère et ses calamités dans le reste du monde via l'Eglise de Roma. Dans la religion juive, les goyim - les non-juifs - seront les esclaves des juifs après l'avènement du Messie. (Ceci n'est pas une déclaration antisémite mais l'énonciation de la vérité ; connaissant Israël assez bien, je ne pourrais jamais me prononcer contre cette terre que mon âme affectionne tout particulièrement et considère, malgré mon amour pour la terre celte, comme étant son berceau spirituel sur Terre.)
4) LA RESURRECTION DE L'AME CELTE
L'ascension, le retour, la montée, la réémergence du Féminin sacré est la seule et unique voie salvatrice pour l'humanité, pour la France et notre belle race blanche si maltraitée et si honnie ces jours-ci, notamment par le wokisme états-unien. Au risque de choquer les bien pensants du politiquement correct gauchiste, le concept de "race" est noble et surtout réel. Le temps est fini pour les Blancs de se confondre en excuses d'exister et d'occuper de l'espace. Nous ressuscitons et nous honorons nos merveilleux et généreux ancêtres dont la sagesse remonte jusqu'à l'Atlantide.
Nous devons nous aimer, aimer notre passé profond, lointain, distant et hyperboréen et jeter sur lui un regard de barde en l'entourant de beauté, de poésie et d'harmonie et en chantant sa gloire, notre mémoire, notre fierté, notre identité, nos aventures divines au son de la harpe et de la lyre.
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Photographie : The DruidCraft Tarot - Philip & Stephanie Carr-Gomm
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Nous vivons un âge de désinformation, de séduction, de mensonges et d'immaturité où l’intelligence, la pureté et la vérité sont les premières victimes. Le contenu de ce blog vise à rétablir les bases d'une société psychiquement et spirituellement saine et éclairée. Il pourra sembler extrême et peut-être offensant à certains. La vérité, dans son essence même, est immuable et fait la guerre à la fausseté. Elle est donc naturellement belliqueuse et provoque l'ego vaniteux, superficiel et immature habitué à voir ses caprices satisfaits et à la gratification immédiate. C'est son rôle et c'est le but : sortir de l'hypnose et du contrôle mental et éveiller les consciences dans cet âge de ténèbres et de complaisance. Ceci est un avertissement et une prise de position pour qu'il soit bien clair que je n'écris pas ces articles pour plaire, ni pour déplaire du reste, mais pour servir la Grande Cause qui est celle de l'Amour universel et du retour de la Déesse, notre Mère divine. L'affrontement de la vérité requiert beaucoup de courage (mot dont la racine est "cœur", il faut donc avoir du cœur pour avoir du courage). La sagesse offerte sur ce blog reflète la cause que je défends car sans vérité, pas de liberté. L'absence étouffante de vérité explique la présence tout aussi étouffante de l'esclavage moderne qui est la condition actuelle, ne nous leurrons pas, de la race humaine.
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